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SSB Brawl : Les ennemis subspatiaux
Aujourd'hui sur le site officiel de Super Smash Bros. Brawl, ce sera des ennemis subspatiaux dont nous faire part Masahiro Sakurai dans son article quotidien. Tout d'abord voici les plus puissant membres de l'armée subspatiale.
Le Roader est un ennemi "qui ressemble fort à un monocycle motorisé. Ils se déplacent en groupe et sont rapides et puissants". Les Poppants sont quant à eux remplis de sucreries, mais sont très peureux. Dans le lot, on peut également citer les Bytan, le Throwlon qui tentera d’attraper votre personnage avec ses bras-chocs et de s’envoler avec lui, ou encore les Shaydas.
Mais c'en est pas fini : il exite aussi l'Auroros, ce drôle d’oiseau qui "effectue des plongeons depuis le ciel. Une fois qu’il s’est planté dans le sol, vous pouvez vous en saisir", le gigantesque Greap, mais aussi les R.O.B. qui tirent des rayons ou des missiles.
L'article annonce toutefois que la liste n'est pas terminée et qu'il exite davantage d'ennemis avec lesquels il ne faut pas se laisser faire.
Shigeru Miyamoto, illustre créateur de nombreux personnages Nintendo, semble à la traîne au niveau technologie. Non pas que l'un des maîtres du jeu vidéo ne sache pas télécharger, mais c'est loin d'être sa préférence. Il n'est pas ici question de téléchargement illégal, mais simplement du commerce culturel dématérialisé. Le WiiWare en est d'ailleurs un parfait exemple.
"Le divertissement ne doit pas devenir quelque chose d’uniquement numérique". C'est ce qu'a affirmé Miyamoto dans une interview au journal californien Mercury News. Jolie phrase, dans une société où tout s'explique par binaire. Mais est-ce pour autant une mauvaise nouvelle ? Difficile d'y croire, lorsque l'économie numérique représente le premier débouché de la crise pour de nombreux spécialistes, et un véritable vivier d'emplois pour le futur.
Le papa de Mario ajoute : "Personnellement, je suis l’un de ceux qui, même si j’ai téléchargé toutes les chansons d’un album sur iTunes, j’achèterais quand même le CD. Je me sens plus rassuré avec un média physique". Il est vrai que la musique est dématérialisée depuis des années, avec le développement de plateformes comme iTunes ou Deezer. Alors qu'en est-il du jeu vidéo ? La question du numérique demeure très récente, depuis l'apparition de services online pour chaque console.
"Si je regarde le WiiMotion Plus, c'est quelque chose que vous ne pourriez pas distribuer de manière numérique. En fait, nous ne voyons vraiment pas le futur du jeu vidéo confiné dans la distribution digitale. Nous ne voyons pas la majorité de nos produits distribués de cette façon". Bref, Miyamoto promet que les joueurs devront se déplacer et acheter la boîte de leur jeu. Les magasins Micromania ont encore de beaux jours devant eux.