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 La PEGI fait attention à ses classifications

Les joueurs les connaissent tous : PEGI en Europe, ESRB aux Etats-Unis, CERO au Japon... Chaque pays a son logo de classification d'âge en fonction du contenu des jeux. C'est à l'organisme PEGI (Pan European Game Information) que nous nous intéressons aujourd'hui.

En effet, après la remise en question des critères d'évaluation de la PEGI par des organismes anglais et allemands spécifiques à certains jeux, le BBFC et l'USK, les responsables de la PEGI, qui regroupe 16 pays européens, a voulu rassurer les consommateurs.

Patrice Chazerand, secrétaire général de l'ISFE (Interactive Software Federation of Europe), a ainsi déclaré à ce sujet que "le PEGI est un modèle de clarté et d'autorégulation qui donne entière satisfaction aux responsables de la politique européenne en matière de protection des consommateurs mais aussi aux utilisateurs du PEGI."

Lorsqu'on sait que 94% des acheteurs de jeux vidéo font attention au sigle PEGI sur la boîte du jeu, contre 72% l'année précédente, il est donc évident que la classification prend de l'importance, notamment avec l'élargissement toujours croissant du public visé par le domaine vidéoludique.

Si l'on considère des jeux comme le très controversé Manhunt 2, les doutes ne devraient même pas se poser quant à un classement +18 ans par la PEGI. C'est donc pour ces raisons que sont intervenus les grands acteurs de la prévention contre les violences montrées dans une série de jeux actuellement développés sur les consoles de jeux vidéo.
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Posté par Arthur

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 Citation

"Je pense que les jeux sont le futur de l'éducation"
Edward O.Wilson, professeur à Harvard
Playset : Grand Chelem Tennis
Playset : Let's Tap

 Edito par Arthur

Shigeru Miyamoto, illustre créateur de nombreux personnages Nintendo, semble à la traîne au niveau technologie. Non pas que l'un des maîtres du jeu vidéo ne sache pas télécharger, mais c'est loin d'être sa préférence. Il n'est pas ici question de téléchargement illégal, mais simplement du commerce culturel dématérialisé. Le WiiWare en est d'ailleurs un parfait exemple.
"Le divertissement ne doit pas devenir quelque chose d’uniquement numérique". C'est ce qu'a affirmé Miyamoto dans une interview au journal californien Mercury News. Jolie phrase, dans une société où tout s'explique par binaire. Mais est-ce pour autant une mauvaise nouvelle ? Difficile d'y croire, lorsque l'économie numérique représente le premier débouché de la crise pour de nombreux spécialistes, et un véritable vivier d'emplois pour le futur.
Le papa de Mario ajoute : "Personnellement, je suis l’un de ceux qui, même si j’ai téléchargé toutes les chansons d’un album sur iTunes, j’achèterais quand même le CD. Je me sens plus rassuré avec un média physique". Il est vrai que la musique est dématérialisée depuis des années, avec le développement de plateformes comme iTunes ou Deezer. Alors qu'en est-il du jeu vidéo ? La question du numérique demeure très récente, depuis l'apparition de services online pour chaque console.
"Si je regarde le WiiMotion Plus, c'est quelque chose que vous ne pourriez pas distribuer de manière numérique. En fait, nous ne voyons vraiment pas le futur du jeu vidéo confiné dans la distribution digitale. Nous ne voyons pas la majorité de nos produits distribués de cette façon". Bref, Miyamoto promet que les joueurs devront se déplacer et acheter la boîte de leur jeu. Les magasins Micromania ont encore de beaux jours devant eux.

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